lundi 1 janvier 2018

TAHITI


     Ia Orana (bonjour, bienvenue)



Nous quittons Hawaï pour passer à l’étape N°2 de notre périple : la Polynésie française.
Nous sommes donc en plein cœur de l’océan Pacifique, et en été puisque dans l’hémisphère sud.
Comme nous y sommes déjà venus il y a deux ans (voir blog dans historique),
nous allons faire un blog « minimum », sans vous saturer de plages et de cocotiers !



Un rappel tout de même : l’étendue de ce territoire est aussi vaste que l’Europe !



Une tradition dans ce pays : accueil très sympathique à l’aéroport avec des colliers de fleurs !
Nous sommes ravis de retrouver nos amis Christine et Laurent, toujours en poste à Tahiti.



C’est donc chez eux que nous allons passer du « bon temps » à nous poser (ou pauser ?).
Surtout qu’ils ont eu la bonne idée de déménager et de prendre une villa en bord de lagon.
L’eau n’est pas profonde, mais très chaude (34-36°) : on y lézarde avec grand plaisir !



En sortant, une douche (froide) est pratique avant de rentrer dans la maison.



La journée et le soir, on passe l’essentiel du temps sur la terrasse qui domine le lagon.



On y prend, en particulier, les repas et on retrouve avec plaisir la spécialité du pays :
le poisson cru ou mariné (ça pourrait rebuter mais on y  prend vite goût).



On commence par du sashimi de thon rouge accompagné de choux et de sauce un peu relevée.



Puis on passe au poisson à la tahitienne (mariné dans du citron vert et lait de coco).



Christine et Laurent sont bien équipés : ils ont trois kayaks que l’on utilise sur le lagon.



On peut aller jusqu’à la barrière ou dans un dédale de lagunes bordées de cocotiers et de filaos.




Sur le lagon, on peut aussi s’entraîner à la pirogue tahitienne (appelée : va’a).
Je me devais d’essayer, qui plus est avec une belle pagaie !



Nous partons à trois (je suis le larbin du milieu, les deux autres ont chacun leur rôle !).



Le premier (Laurent) rythme la cadence et nous fait changer la pagaie de côté.
En effet, on alterne tous les 8 à 12 coups de pagaie.




Le dernier dirige la pirogue et aide à pagayer si besoin (dans les courses).
C’est un sport éprouvant (les tahitiens sont bien carrés !) et sous ce climat, on transpire vite.



On s’accorde quelques moments de pause (il ne faut pas épuiser le touriste !).



Nous ne sommes pas les seuls sur le lagon : c’est le sport le plus pratiqué ici.
Il y a régulièrement des courses de va’a, dont certaines se font en étapes sur trois jours.



Nous sillonnons l’île de Tahiti, sur le pourtour uniquement,
car l’intérieur est difficilement accessible.
Les paysages sont très verdoyants, de type tropical humide.




La forêt peut être dense et accrochée sur des collines bien pentues.



Toute la Polynésie étant d’origine volcanique (comme Hawaï, mais c’est bien plus ancien ici),
il subsiste à l’intérieur des pitons volcaniques élevés.



L’île de Tahiti se resserre dans un isthme (là où habitent Laurent et Christine).



Il y a une agriculture de subsistance (maraîchage et fruits).
Voici des champs de taro (et non pas tarot comme écrit dans un article sur Hawaï !).



Un champ de papayers.



On fait une escale déjeuner au « bout du monde », chez Jeanita !





Papeete est la grande ville de Tahiti (nos amis habitent à l’opposé et disent : on va « en ville » !).
Voici la cathédrale de Tahiti (elle n’est pas très imposante !).



Le marché de Papeete est naturellement exotique, avec ses nombreuses variétés de bananes.




Mais ce qui attire l’œil, ce sont ces magnifiques fleurs tropicales très colorées.




Janine a acheté un bouquet pour vous l’offrir (mais c’est un peu loin !).



Les colliers de fleurs peuvent, entre-autre, s’acheter au marché.



Dans la ville où habitent nos amis, il y a un festival traditionnel pour les fêtes de fin d’année.
Pendant près d’une semaine, des groupes, en compétition, se produisent chaque soir.
Nous assistons à plusieurs représentations (danses et chants purement polynésiens).
C’est un festival régional destiné à la population locale (nous étions les seuls touristes).
Tout se fait en langue polynésienne.
Les groupes représentent des quartiers ou des villages et sont amateurs.
Le niveau est inégal, mais nous avons beaucoup apprécié ce côté authentique.
Il y a en début de soirée un groupe qui se produit pour les chants.



Puis suit un autre groupe pour les danses, ce qui nous a davantage intéressé.
Voici le groupe danse du premier soir.




Tout le monde participe : jeunes, moins jeunes, certains sveltes et d’autres moins… 




Puis celui du deuxième soir : le thème était le mariage traditionnel (intéressant).







Le dernier soir a été le plus réussi avec de beaux ballets.











Bien sûr, les images fixes ne rendent pas l’ambiance et la grâce des vahinés !
Alors, si vous êtes intéressés, cliquez sur les liens ci-dessous.


En tout premier, voici sans doute les plus beaux et représentatifs des ballets.

https://www.dropbox.com/s/6svy1owx90crrg7/Film%20jour%203%20raccourci.wmv?dl=0


Dans ceux-ci, remarquez la danse « ventilateur » et essayez de faire pareil mesdames !

https://www.dropbox.com/s/k6sx8lsuy9yyd3j/Film%20jour%202.wmv?dl=0


Voici l’épisode chant polynésien : les images ne sont pas bonnes, mais c’est le son qui compte.

https://www.dropbox.com/s/poaqnsgeaa6mpcn/Chants%20polyn%C3%A9siens.wmv?dl=0


Pour les passionnés, voici un dernier volet de danses authentiques avec les costumes en feuillage.

https://www.dropbox.com/s/r6lrop070o0i9x7/Film%20jour%201.wmv?dl=0



En cette période de fin d’année, nous vous présentons à tous, de très loin,
nos meilleurs vœux de Bonne et Heureuse année.



Là encore, nous allons marquer une nouvelle pause et vous retrouverons
dans une quinzaine de jours pour un circuit inter-îles.



1 commentaire:

Jeannine a dit…

Coucou,

Merci pour les fleurs Janine -:)) Elles sont magnifiques...
Bonne et heureuse année à vous deux, profitez bien de toutes ces belles choses.
Bises à vous deux de la part des bretons.