DIEGO : 2ème partie et Fin

La montagne d’Ambre se trouve au sud de Diégo à 1h de route-piste. C’est un petit massif volcanique qui culmine à 1475 m. Il concentre les nuages et il y pleut fréquemment. Cette montagne est recouverte d’une forêt tropicale humide riche en faune et flore.

De grosses lianes pendent des arbres, et une nouvelle « Jane » s’entraîne !

Un lac de cratère entouré de forêt dense.

Une cascade dans la végétation luxuriante.

Le clou de l’expédition est l’observation du plus petit caméléon au monde (2 à 3 cm) !

L’un des attraits de Diégo est la Mer d’Emeraude située à l’extérieur de la baie, mais protégée du grand large par une barrière de corail. Nous y partons en boutre malgache.

Ce type de bateau est bien plus grand que la pirogue à balancier de Ifaty. Il avance à l’aide d’une voile triangulaire et, si besoin, d’un petit moteur.

Il est utilisé par les pêcheurs locaux qui peuvent aller en pleine mer à une belle allure.

Nous franchissons une petite passe pour sortir de la baie et arrivons dans un immense lagon appelé Mer d’Emeraude. La couleur de l’eau change nettement et justifie l’appellation.

Le boutre va nous déposer sur la plage d’une petite île.

Nous allons y passer une partie de la journée.

Un bungalow rudimentaire est à notre disposition.

L’équipage du bateau a apporté de gros et superbes poissons pour le déjeuner !

En attendant, nous allons nous baigner et tenter d’apercevoir des poissons identiques dans l’eau…

Effectivement, il est possible de voir des poissons, mais pas toujours faciles à photographier !

De retour sur la plage, nous constatons que le déjeuner se prépare tranquillement et dans la joie !

Après les crudités comme entrée, voici l’incontournable riz, mais cuit dans du lait de coco qui lui donne un goût subtil.

Et bien sûr, les poissons grillés qui sont un vrai régal !

Nous mangeons avec beaucoup de plaisir et il y a même du crabe de palétuvier en sauce !!

L’après-midi, nous profitons encore de ce cadre merveilleux.

Nous retournons nous baigner une dernière fois, avant d’entamer le retour.

Le vent se lève et nous rentrons à vive allure avec des secousses violentes.

Comme nous prenons la houle de travers, des gerbes d’eau nous submergent !

Le retour est donc très agité.