lundi 2 décembre 2013

TREK AUTOUR DE CHIANG MAI


Nous partons pour un trek de deux jours dans les environs de Chiang Mai.
Pour éviter la foule, nous avons choisi un circuit hors des sentiers battus,
 dans un coin reculé de montagne.
Nous passons d’abord dans un petit centre d’élevage d’éléphants en pleine nature.

De jeunes touristes y font un stage pour apprendre à soigner et conduire les éléphants :
cela commence par le bain (tout le monde se baigne !).

Nous faisons une promenade à dos d’éléphant,
la première partie sur des chemins…
et la seconde partie, très chaotique, dans le lit d’une rivière.

Nous sommes haut perchés.

Yannick n’a pas besoin de stage pour se mettre à la place du cornac !

Les stagiaires essaient de guider les éléphants sur le même itinéraire.

Puis nous commençons le trek en pleine forêt tropicale.

Parfois, la pente est raide et glissante : Janine transpire,
car l’atmosphère est chaude et très humide.

Nous devons traverser un petit torrent sur un gros bambou (une personne à la fois !).

Après plusieurs heures de marche, nous arrivons au campement,
situé dans un coin de forêt dégagé mais complètement isolé.
La grande case sert de dortoir, et au-dessus, c’est la salle à manger !

Il y a quand même un bloc sanitaire : Janine en sort,
après, sans doute, une rapide toilette…

En effet, la « salle de bain » est vide :
Yannick et Jeannine vont avoir du mal pour se rincer la bouche !

Le dîner, aux chandelles, est servi dans de grosses marmites bien noires.

Le couchage est comme on s’y attendait :
directement sur le plancher de bambou avec un semblant de matelas.

Certains regards indiquent que la nuit n’a pas été très bonne !

Au petit déjeuner, on voit mieux l’état de la table.

Notre guide, un jeune thaïlandais, a un grand tatouage de bouddha dans le dos.

Le deuxième jour, nous repartons à travers la montagne défrichée et cultivée.

Des ethnies, réfugiées de pays voisins, exploitent cette région inhospitalière.
Nous passons dans un village Lahu, où les habitations sont sommaires.

Les conditions de vie sont précaires.

Les familles élèvent quelques animaux domestiques…
et font des cultures vivrières.

Un habitant fume une pipe à eau (déjà vu en Chine).

Notre circuit se termine par une descente de rivière en radeau de bambou.


Là, encore, nous pouvons faire confiance à Yannick pour nous piloter.

Nous sommes revenus à notre hôtel, bien contents de retrouver un peu de confort !!

3 commentaires:

Fred a dit…

J'hallucine, on a fait exactement le même trek, le même bivouac et les mêmes activités ...

mfg a dit…

Les conditions de vie semblent bien précaires, mais vous avez l'air en forme des bises.
MFG

Phengdy a dit…

C'était très cool de traverser le torren avec deux batons de bamboo, oof ^o^