mardi 8 mars 2016

LA CÔTE OUEST DE NOUVELLE CALEDONIE


De retour à Nouméa, nous louons une voiture pour faire le tour de la Grande Terre.
Notre amie, Aline, nous accompagne dans ce périple qui commence par la côte ouest.


La première halte se fait à la Foa où des sculptures Kanak sont exposées dans un jardin public.


Celle-ci représente la mixité sociale avec ses deux couleurs.


Un lieu de villégiature très prisé des habitants de Nouméa est Bourail et ses environs.
A moins de deux heures de voiture de la capitale, on trouve un site balnéaire étendu.
Voici tout d’abord l’immense plage de la Roche Percée, propice au surf.


Puis, tout à côté, de tranquilles petites baies.


Vue sur la plage des tortues, le promontoire rocheux appelé « bonhomme »,
et en arrière-plan la plage de la Roche Percée.


La plage des tortues est bordée par des pins colonnaires, aux formes penchées.


Aline apprécie la promenade sur cette plage déserte !


Quelques kilomètres plus loin, on arrive sur la plage de Poé, longue de 13 km.


Quasi déserte, elle est propice à faire du footing au soleil couchant !


De cette plage, nous partons sur un bateau à fond de verre en direction de la barrière de corail.


Dans le lagon, vivent de grosses tortues vertes suivies par des rémoras.


A nouveau, séance de snorkelling pour admirer :
Un bloc de coraux bleus appelé « fer à cheval ».


De gros poissons peu colorés dénommés « anglais ».


Celui-ci est quand même plus beau !


Ces formes spéciales sont appelées des « sapins de Noël ».
Ce sont des vers marins qui vivent sur des coraux et qui ne font que quelques centimètres.


Nous prenons un peu de hauteur pour mieux voir le lagon.
La Nouvelle Calédonie possède la barrière récifale la plus longue du monde : 1600 km.
Certaines parties de cet immense lagon sont classées au patrimoine mondial de l’humanité.


Le domaine de Deva d’environ 8000 ha est idéal pour de belles randonnées à proximité de la mer.


La côte ouest de la nouvelle Calédonie est verdoyante et propice à l’élevage.


De grandes domaines agricoles sont tenus par des Caldoches, une autre composante
de la société calédonienne dont l’origine remonte aux premiers émigrés européens.


Une chaîne de montagnes se trouve au centre du pays, constituant une sorte de colonne vertébrale.
On y trouve des richesses minières importantes de chrome et surtout de nickel.
L’extraction se fait à ciel ouvert dans d’immenses carrières, décapitant des montagnes.


Le minerai de nickel est transporté sur des tapis roulants,
parcourant de nombreux kilomètres jusqu’au centre de traitement.


De gros camions sont également utilisés dans cette exploitation minière.


En continuant vers le nord, nous arrivons dans la ville de Koumac pour y séjourner trois jours.
En effet, nous retrouvons des amis de Hyères qui nous accueillent royalement.


Carole et Thierry, tous deux enseignants, sont arrivés ici en 2002…et n’en sont jamais repartis !!
Les retrouvailles sont vraiment chaleureuses et un tantinet émouvantes.


Leur villa est digne de catalogues : immense, très aérée, avec piscine et vue sur le lagon…
Les retrouver ici, dans un tel environnement et après tant d’années, c’est un pur bonheur partagé !


Ils nous organisent notre séjour et sont à nos petits soins.
La première sortie est sur le lagon à bord de leur bateau spacieux et confortable.


Nous commençons par une séance snorkelling où Aline va même faire le tour du bateau !


Quant à Janine, c’est maintenant une pro !!


Et moi je ne me lasse pas de ces bains à répétition.


Dans l’eau, c’est toujours aussi beau, telles ces demoiselles bleu clair
 sur des coraux aux «doigts» bleu foncé.


Thierry, de son côté a revêtu sa tenue de chasseur sous-marin…il est impressionnant !


Nous accostons ensuite sur un ilot paradisiaque.




Il est cerné par une belle plage baignée par une eau translucide et chaude.


Photo de « famille », avec le bateau en arrière-plan.


Une autre sortie, à proximité de Koumac, pour voir des grottes.
L’arbre, un banian, a carrément enveloppé de ses racines un rocher.


Vue sur la ville de Koumac, assez étendue, et les montagnes au loin,
dont l’une d’elles est arasée (mine).


On y trouve, au marché, de grosses bananes succulentes !


Une autre sortie est programmée pour le « grand nord ».
Sur la route, nous faisons une halte à la plage blanche.


A marée haute, la plage est réduite.


Puis nous atteignons la pointe extrême nord de la Grande Terre.
L’endroit s’appelle Poingam. Au-delà, il ne reste que quelques îles.


Nous allons voir en 4x4 de petits marais salants.


Nous déjeunons dans le gîte de Poingam, perdu dans ce coin reculé.
Un grand flamboyant sert de parking ombragé.


Au menu : « crabe de palétuvier »…très bon !!


La maison de Carole et Thierry a tout pour plaire :
On peut y admirer le coucher de soleil sur la mer depuis la terrasse ou la piscine.
Nous voulons remercier une dernière fois Carole et Thierry pour leur accueil…
cela nous donne vraiment envie de revenir !






2 commentaires:

Jeannine a dit…

Bonjour Janine, Jean, Aline et Christian,
C'est vraiment sympa d'avoir des amis sur ces îles paradisiaques !!!
Cela nous donne des envies d'évasion, d'exotisme et de tranquillité ensoleillées.........
Bises très très ventées de la Bretagne.

Monique a dit…

Coucou à tous
Même s'il fait bon chez nous j'aimerais bien avoir aussi chaud que vous, et surtout ne pas avoir à préparer de repas...Et profiter de produits exotiques, cela fait trop envie...
Robert est en forme. Bisous de nous deux