mardi 17 janvier 2012

DE SAN JOSE A CAHUITA

      Comme prévu, le voyage en avion a duré plus de 18h. A l’arrivée, nous n’avions qu’une hâte : c’était de dormir car il était 4h du matin heure française (mais seulement 9h du soir ici !). Nous avions réservé la nuit dans un petit hôtel (qui sera notre point de chute dans la capitale San Jose à chaque fois que nous y repasserons). En réalité, il est situé à Alajuela, une ville limitrophe et proche de l’aéroport. C’est  une « pension de famille ou guesthouse » constituée de quelques chambres avec une cuisine à disposition. C’est une forme d’hébergement répandue dans le pays.
Vue du jardinet vers la cuisine en plein air (notre chambre est juste derrière).
  Le premier jour, nous avons visité la ville de San Jose qui, bien que capitale, est assez petite. Elle ne présente pas beaucoup d’intérêt. Le centre- ville se limite à quelques rues piétonnes, places et monuments (théâtres et églises).
L’entrée de la rue piétonne gardée par une colombe (en statue) et aussi des forces de police !
Près d’une place, des vendeurs, à la sauvette, étalent leur marchandise sur le sol.
   Le deuxième jour, nous avons pris un bus public pour rejoindre la côte Caraïbe au sud (4h de trajet). A la gare routière, nous avons pu constater, comme la veille, l’obésité de beaucoup de personnes. L’explication est toute simple : c’est une conséquence de la civilisation à l’«américaine ». Dans San Jose, nous avons vu nombre d’établissements de « mal bouffe » (MD et autres…). Comme le Costa Rica jouit d’une bonne notoriété, de nombreux touristes (dont des « nords américains ») viennent y séjourner et apporter des devises. La population en bénéficie et le niveau de vie est relativement élevé (comparé aux voisins Panama et Nicaragua). Alors la société de consommation joue à plein…
Le mal atteint peut-être plus les femmes que les hommes (c’est plus visible !).

Des forces de police patrouillent partout à cause d'une certaine insécurité.

   Arrivés à Cahuita, notre point de chute sur la côte Caraïbe, nous avons marché quelques centaines de mètres pour arriver à notre « hôtel ».
 Ici, les chambres sont appelées « cabinas ». La nôtre est plutôt agréable : il s’agit d’un petit bungalow indépendant entouré d’ un jardin tropical.
L’extérieur avec en premier plan des fleurs « alpinias ».
L’intérieur avec un coin cuisine et une salle de bains privative.
Nous avons juste eu le temps de faire un tour dans la ville qui, en fait, est un petit « bourg », à l’ambiance antillaise.
La rue principale avec quelques bars et restos.
      Nous allons passer trois jours pleins pour découvrir les alentours….
PS : pour écrire un commentaire, la procédure à suivre est décrite, tout en haut, dans la colonne de droite...

4 commentaires:

Jeannine a dit…

Nous sommes heureux d'avoir des nouvelles.
L'hébergement à l'air sympa.
Vous devez vous sentir "très minces" à côté des autochtones. Tu vois Jean, pas la peine de faire de régime...
Merci pour le nom de la fleur. J'en avais photographiées en République Dominicaine et j'avais oublié le nom.
Bonnes vacances.
Bises des bretons.

Nine a dit…

C'est bien parti. Tout est bien programmé.
Attention de ne pas prendre envie du régime local.))
Bises
Michèle

Phengdy a dit…

La femme avec le maillot rose doit faire le régime hahaha. Le bangalo est sympa, attention des moustiques quand même, bonne route ^_^

Florence a dit…

Coucou! Nous vous souhaitons un bon séjour, de jolies ballades en perspectives!
Bises de nous quatre