dimanche 24 janvier 2016

CHRISTCHURCH - PARC ABEL TASMAN (nord de l'île du sud)


Nous allons de Wellington, dans l’île du nord, à Christchurch, dans l’île du sud, en avion (45 mn).
La ville de Christchurch fut fondée en 1840 par des émigrants écossais,
qui y établirent une colonie anglicane (d’où le nom de la ville).
La ville est maintenant devenue le centre commercial et administratif de l’île du sud.
C’est même la deuxième plus grande ville, après Auckland, de la Nouvelle Zélande.
Malheureusement, un tremblement de terre a dévasté tout le centre-ville le 22 février 2011.
Les dégâts sont encore visibles et l’atmosphère est assez étrange,
entre les vestiges du séisme qui subsistent et les nouveaux bâtiments qui sont reconstruits.
Le plus impressionnant est la façade de la cathédrale entièrement détruite.

Le tramway passe devant un immeuble encore debout, mais entièrement fermé.

Un autre tramway (de type anglais) s’engage dans la partie en complète rénovation.

Beaucoup d’efforts ont été accomplis, et de beaux immeubles ont vu le jour.

Voici le nouveau Novotel, mais l’environnement n’est pas top !

Une belle rue de commerces a été créée, mais ça manque de vie !

Nous quittons Christchurch pour faire un tour complet de l’île du sud pendant trois semaines.
Nous louons une voiture et partons dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.
L’étape N°2 sur la carte est la ville de Kaikoura, située sur la côte est.

En arrivant, nous allons observer une colonie d’otaries qui se prélassent sur un ilot rocheux.

Et je prends la pose !

Une société gérée par des Maoris organise des sorties en mer pour observer des baleines.
Du bateau, nous pouvons voir la côte surmontée de nuages blancs…
En arrivant ici, les premiers Maoris ont appelé ce pays : « le pays au long nuage blanc » !
Et il faut reconnaitre que le ciel est souvent nuageux, même en été !!

Des dauphins viennent à notre rencontre.

Voici l’albatros royal, l’oiseau roi des mers du sud, dont l’envergure peut dépasser 3 m !

Et voici notre premier cétacé en vue.

C’est un cachalot géant de la famille des baleines.
Il peut atteindre 15 à 20 m de long et peser entre 40 et 60 tonnes.
 C’ est le quatrième plus grand mammifère marin et  il respire donc de l’air.
Il va rester en surface 15 à 20 mn, pour bien « s’oxygéner ».

Là, il se cambre, avant de plonger.

Il ne reste que la queue qui s’élève dans les airs.

Le voilà reparti dans les 1000 m de profondeur pour près d’une heure !

Nous continuons notre route vers le nord et faisons quelques arrêts :
Une nouvelle colonie d’otaries à fourrure de Nouvelle Zélande (le nom complet !) avec des bébés !

Une vue de la côte sauvage : c’est tranquille ici !

Tiens une mouette noire à bec rouge !!
Pour les puristes : « l’huîtrier variable », un oiseau endémique de la Nouvelle Zélande.

Nous arrivons dans la région Marlborough au nord-est de l’île.
On y cultive de la vigne (qui est arrosée au goutte à goutte) dans un environnement assez aride.

Le vin de Nouvelle Zélande est plutôt bon : Armand, tu pourrais venir !

Notre étape N°3 est le parc national Abel Tasman.
Nous avons un aperçu d’une partie du parc depuis notre logement.

Nous partons en excursion d’une journée, avec un transfert en bateau.
Le départ a lieu sur un parking, et le tracteur va nous emmener jusqu’à la mise à l’eau.

Un arrêt devant le « Split Apple Rock » reconnu comme élément du patrimoine national.
Cette grosse boule de granite symbolise une pomme qui a été coupée en deux,
mais il n’y a pas d’explication à ce phénomène !

Le bateau nous dépose sur la magnifique plage d’Anchorage.

Nous allons revenir au point de départ en parcourant plus de 15 km sur un sentier littoral.
De temps en temps, nous avons un beau point de vue sur la côte et la mer.

A d’autres moments, nous nous enfonçons à l’intérieur dans une végétation particulière :
Ici, des bruyères arborescentes, grandes comme des arbres (un intrus s’y cache !).

Là, des fougères arborescentes (cette fois, c’est une intruse !).

Mais les fougères sont parfois aussi grandes que des arbres.

Une plage parfaite dans sa forme en croissant.

Quelques autres vues du parcours.

Une halte rafraichissante : je me baigne en Nouvelle Zélande (à 20°) !

A l’arrivée, nous découvrons la plage à marée basse (c’est presque le Mt St Michel !)..

1 commentaire:

laurent a dit…

il n'y a pas l'air d'avoir grand monde!